vendredi 28 août 2009

Dynastie

Quand on s'intéresse à Marilyn Monroe, un autre nom apparaît très souvent : Kennedy. John bien sûr mais aussi Robert (sans compter Peter Lawford, marié à une soeur Kennedy et proche du clan Sinatra, qui s'est retrouvé au milieu de tout ça, des présentations aux soirées de débauche...).


Alors évidemment, au bout d'un moment, j'ai eu envie d'en savoir plus sur JFK, ce président qui allait changer le monde mais fut assassiné trop tôt (un jour faudra que j'aille à Dallas aussi)... et je me suis laissée happer par une nouvelle passion (enfin, une extension de celle existante dirons-nous).

Biographies, analyses, livres de photos, j'ai une belle mini collection de livres sur la famille Kennedy, dont l'histoire est passionnante; j'en ai ainsi un qui remonte à leurs arrière-grands-parents irlandais qui ont fui la famine et se sont installés en Amérique, on suit ensuite le destin des deux grands-pères, hommes politiques influents, dont un maire de Boston (grand-père maternel, donc le père de Rose, dont on peut voir la maison de naissance à Boston d'ailleurs).
Ceci explique aussi mieux pourquoi j'ai aimé visité Boston, car c'est le berceau de la famille Kennedy telle qu'on la connaît !


Mais mon intérêt repose essentiellement, comme tout le monde, sur John et Robert, leur complicité de chaque instant, leur volonté de changer le monde, de le faire avancer, et même s'ils ont eu peu de temps, ils ont réussi non seulement de leur présent, mais aussi ensuite de par la trace qu'ils ont laissée. Personne n'a été aussi charismatique qu'eux. Bien sûr ils étaient loin (très loin) d'être exempts de défauts, mais ça les rend encore plus fascinants quelque part...


Alors en cette semaine où leur petit frère, qui aura vécu vieux, lui, va les rejoindre au cimetière d'Arlington (que j'ai visité l'année dernière), et sera manqué par beaucoup, j'aurais bien aimé être à Boston pour aller moi aussi lui rendre un dernier hommage, car c'est quand même une sacrée page qui se tourne.
JFK et RFK sont morts avant que je sois née, et je me souviens encore du choc de la mort de John John il y a 10 ans, mais Ted (et un peu Caroline aussi) perpétuait ce mythe, nous rassurait comme en disant "pas de souci, les Kennedy sont là"...
Sa mort sonne vraiment comme la fin d'une époque...

mardi 25 août 2009

If you could read my mind

Après-midi seule au bureau, j'ai bossé mais j'ai aussi envie d'en profiter, en répondant à ce tag littéraire de Kriss par exemple, qui date d'il y a... 6 mois !

  • Catégorie tout et n’importe quoi, m’enfin surtout n’importe quoi
Alors qu'est-ce que j'ai lu de n'importe quoi... Ben disons que ma dernière lecture, Shutter Island de Dennis Lehane, est pas loin de rentrer dans cette catégorie, parce que même si j'avais compris le principal avant même de lire le livre (la faute aux autres lecteurs qui disent des trucs, et à la bande-annonce du film), plus l'histoire avançait plus je me disais que c'était n'importe quoi !

  • Catégorie des livres pas que pour les enfants
La saga Harry Potter bien sûr ! Je voudrais bien connaître des enfants qui les lisent d'ailleurs, pour voir la différence de perception de ces livres...
Et puis je suis obligée de parler de Coraline aussi, un vrai petit chef-d'œuvre et faux-ami du rayon enfant, d'ailleurs dans la librairie où je vais habituellement il est bien classé dans la partie SF/fantastique/horreur (mais je ne sais pas s'il est aussi au rayon jeunesse).


  • Catégorie grands classiques
Petite, je relisais sans cesse Les Malheurs de Sophie de la Comtesse de Ségur. Un peu plus vieille, Le Rouge et le noir de Stendhal était mon roman préféré.
Ce n'est pas ce que je préfère mais j'essaye quand même de lire des "classiques" de temps à autre. J'ai ainsi par exemple adoré Le Père Goriot (Balzac), aimé Dracula (Bram Stoker), trouvé bien nul Frankenstein (Mary Shelley), détesté En attendant Godot (Samuel Beckett) et pas fini - tellement j'ai rien compris - La Métamorphose (Franz Kafka).
Et je viens tout juste de commencer The Picture of Dorian Gray d'Oscar Wilde.

  • Catégorie littérature contemporaine
Stephen King, James Ellroy, Bret Easton Ellis, Chuck Palahniuk, Thomas Harris, Anne Rice... Des auteurs essayés et plus ou moins approuvés selon les ouvrages.
Dans d'autres styles, j'ai beaucoup aimé The Time Traveler's Wife (Audrey Niffenegger), The Lovely Bones (Alice Sebold), La Route (Cormac McCarthy) et les deux Bridget Jones (Helen Fielding) !


  • Catégorie apprendre en s’amusant
Heu... là je vois pas !
Les guides touristiques peut-être ? J'y apprends des trucs tout en voyageant donc c'est sympa (j'ai la manie de lire toute la partie histoire/présentation etc. de chaque endroit où je vais avant d'y aller... et de tout répéter façon guide à Monsieur une fois sur place !)

  • Catégorie parfois je lis des trucs intelligents, mais après ça fait mal à la tête
Alors depuis que je ne suis plus étudiante et donc plus obligée de lire des trucs intelligents, je continue de lire des trucs de "socio" : j'adore les livres qui parlent de différences culturelles surtout, j'en ai ainsi un sur les Amish, un sur le quartier juif de Montréal, plusieurs sur les différences entre les Français et les Américains/Québécois/Anglais.
Je lis aussi des biographies (sans surprise, j'en ai pas mal sur Marilyn Monroe et sur les Kennedy) et j'aimerais bien me pencher sur des choses plus historiques mais j'ai du mal à choisir dans ce rayon...
Et puis bien sûr les livres sur le ciné !



Voilà, bon je ne nomme personne pour ce tag mais qui l'aime le suive !

If you could read my mind - Stars on 54 (BO de Studio 54)

vendredi 21 août 2009

She's dressed in black again



Comme je l'ai déjà dit, et comme vous le voyez, je suis plutôt portée sur le noir.
J'ai l'impression que c'est depuis toujours mais je ne suis "passée à l'acte" qu'à partir du moment où j'ai pu commencer à avoir une indépendance toute relative vers 15-16 ans, c'est-à-dire quand j'ai enfin pu aller acheter mes vêtements sans ma mère !
Dès que je me suis retrouvée seule dans les boutiques, c'était objectif NOIR, une habitude qui s'est amplifiée à mon départ en fac vu que là j'habitais seule, j'étais tranquille ! Bon par contre quand on est étudiant on est pauvre alors j'allais dans les friperies et j'y ai fait quelques bonnes petites trouvailles, dont 2 petits pulls légers à manches courtes que je mets encore aujourd'hui, ils n'ont pas bougé !
Car l'un des avantages au noir, c'est que ça ne se démode pas, on peut ainsi conserver les fringues plus longtemps (sauf forme très particulière ou encore usure ou lassitude).

Ce que j'aime aussi dans le noir, c'est que ça fait classe/simple/propre. Une bête tenue pantalon/t-shirt en total look noir fait tout de suite moins brouillon que les mêmes fringues dans des couleurs différentes. N'importe qui en look noir va me sembler plus séduisant, que ce soit un(e) inconnu(e) dans la rue ou une star en photo.
Généralement, je ne suis pas très imprimé ni couleurs vives, ni couleurs pastel, ni, surtout, mélange de couleurs. Pour mes yeux dès qu'il y a plus de 2 couleurs je me sens agressée par un clown. Ainsi, même si depuis que je suis rentrée dans le monde du travail je ne m'habille plus 100 % noir, je suis toujours en noir avec un truc de couleur et un seul, sauf rare exception (si rayures, carreaux ou autre motif par exemple). Et tout le monde l'a bien remarqué car si j'ose un jour un truc un peu moins "moi" on se demande ce qui m'arrive ! De toutes façons il m'arrive encore de ne mettre que du noir de la tête aux pieds, et je dois dire que c'est toujours comme ça que je me sens le mieux.

Après, il y a noir et noir : selon les habits on peut faire vieille pute, mémé en deuil ou gothique crade, mais tant qu'on reste dans les vêtements "normaux", c'est ce qui passe le mieux à mes yeux. Ainsi quand je fais du shopping si un modèle me plaît je vais tout de suite me diriger vers la version noire. Après, selon mon humeur et la pièce en question, je vais peut-être regarder les autres couleurs et me laisser tenter par un beau gris, bleu, rouge ou violet. Aujourd'hui ma garde-robe est encore à 50% de noir et 50% de tout le reste je dirais, alors que j'étais arrivée vers 20 ans à je pense 95% de noir !

Mais le noir, je ne l'aime pas qu'en tissu : outre mes cheveux, noirs/brun foncé depuis 1992, évidemment si je cherche un manteau, un sac ou des chaussures je vais presque prendre exclusivement du noir, car quand même, ça va avec tout, mais je peux me laisser tenter par une autre couleur, surtout pour les sacs, qui peuvent justement apporter une petite touche de fantaisie (avec d'éventuels bijoux, mais là je suis surtout portée sur la couleur argent).

Dans mon studio d'étudiante, j'avais 2 bibliothèques noires (de chez But, pas d'Ikea à l'époque !), une parure de lit noir & blanc, des chaises façon bistro noires avec une petite table pliante que j'avais recouverte de Vénilia façon marbre, et j'avais repeint ma tringle à rideaux et un tabouret en noir (et je ne vous parle pas de la déco : chauve-souris, sorcière en tissu...). La moquette était grise et j'avais choisi un papier peint qui ne plaisait pas du tout à ma mère, blanc avec un effet "brume" gris et mauve...

Par contre, et ça me résume bien (je vais me faire appeler Two-Face), ma salle de bains avait du papier peint avec des petits palmiers, et j'adore acheter des culottes de toutes les couleurs !

Dressed in black - Depeche Mode

jeudi 20 août 2009

I feel like I wouldn't like me if I met me


Ma garde-robe est bien remplie (mais c'est pas la mienne sur la photo hein... malheureusement !) et j'essaye chaque saison de porter au moins une fois chaque vêtement propre à la saison et que je ne peux pas vraiment porter en dehors de cette période.
En fonction de la météo, de mes envies, de mon planning, je choisis ce que je mets (comme tout le monde quoi) et je prépare tout la veille au soir, une habitude qui date depuis le collège pour gagner du temps le matin.
Seulement de temps en temps, le matin je n'ai plus envie de mettre ce que j'ai préparé (et souvent repassé car qui dit grosse garde-robe dit plusieurs trucs par cintre, vêtements serrés et froissés, etc.). Là, il faut que j'avise si vraiment je veux changer ou non, et le faire vite, car mon temps est minuté.

Pire, parfois, au moment de mettre ma tenue, rien de spécial, mais c'est une fois partie que je ne me sens pas à l'aise.
Ainsi aujourd'hui j'ai eu l'impression que quelque chose clochait toute la journée quand je me regardais. J'ai mis un haut fin en soie Esprit, bleu clair (qui va avec mes yeux), avec un joli petit motif blanc et des manches 3/4 ballons au-dessus des coudes. Un très joli haut je trouve (je voulais le prendre en photo mais il est tard et l'appareil déconne en plus). Sauf que c'était pas la journée pour le mettre, finalement.
C'est vraiment bête, et je ne sais pas mettre de mot dessus, mais je me sentais niaiseuse en portant ce haut, ce n'était pas moi, en tout cas pas aujourd'hui. Trop champêtre avec son motif ? C'est pourtant pas du Liberty, même pas vraiment des fleurs... Trop bleu et blanc ? Bah comme je l'ai dit le bleu va avec mes yeux et mon pantacourt, mes ballerines et mon sac étaient noirs donc j'avais ma dose de confort...
Bref je ne sais pas pourquoi ce haut-là ne m'allait pas aujourd'hui, mais je l'ai enlevé dès que je suis rentrée chez moi !

Vous aussi ça vous fait ça parfois ?

You wouldn't like me - Tegan and Sara

mercredi 19 août 2009

The Leader of the pack


Parfois je me dis que si je n'organisais rien, je ne ferais rien. Bon ça veut rien dire comme phrase vu comme ça, ou plutôt ça semble ultra-logique, mais le clé, c'est le "je".

J'ai des ami(e)s et des connaissances, des qui sont partants pour tels trucs, d'autres pour d'autres trucs, certains pour à peu près tout. C'est cool, vu comme ça.
Sauf que les gens sont des glands.
Ah ça, répéter "faut qu'on fasse ci ou ça" à l'infini, tout le monde peut le faire, et c'est ce que tout le monde fait j'ai l'impression. Sauf quand je me dis que c'est bien beau de le dire, mais ce serait encore plus sympa de le faire.

Concert, resto, aller danser, boire un verre, ciné, brunch, etc., si je ne lançais pas le truc je ne ferais quasi rien, ou alors le plus souvent je traînerais ma moitié et c'est tout. Parce que j'ai vraiment l'impression d'être la seule à prendre les choses en main, à mailer/facebooker les gens (drôlement pratique le gestionnaire d'événements, mais à chaque fois y a au moins une personne du groupe qui n'est pas sur facebook du coup je suis obligée de passer par le mail - et les gens survolent les mails, t'as beau mettre les infos importantes comme le lieu, la date et l'heure en gras et souligné, ils te le demandent quand même, des glands j'vous dis).

A moi les joies de rédiger le mail de manière claire et compréhensible, de proposer des dates, de recouper les infos pour que le truc se fasse, d'éventuellement acheter les billets ou réserver... De relancer les gens surtout, parce que là, j'ai des beaux spécimens de gens - que j'adore par ailleurs, heureusement - qui sont bien contents de faire des trucs mais qu'il faut harceler pour avoir une réponse, et ça commence à me saouler (et puis bon j'ai pas que ça à faire !). Surtout que bon, comme moi je veux profiter des choses, j'ai tendance à lancer plusieurs idées à la fois, et y a des gens, ils oublient, ils mélangent, et j'ai une demi-réponse pour le truc le moins urgent au mieux...
Franchement je suis à deux doigts de dire "tant pis pour toi" de manière plus répétée, mais je suis sûre que ça ne changera rien. Des glands.

Bon je mentirais si je disais que j'aimais pas ça, ça c'est mon côté Monica, mais de temps en temps j'aimerais bien me laisser guider bêtement aussi et être un peu surprise par ce que me réserve la soirée au lieu de l'avoir déjà vécu dans ma tête, au lieu de stresser jusqu'au truc en question en me demandant si tout le monde va arriver à l'heure, aura bien sa place, si tout va bien se passer etc.
Dire que je rêverais d'être wedding planner... je pense que je tuerais les mariés vite fait !

The Leader of the pack - The Shangri-Las

vendredi 14 août 2009

Love will tear us apart


C'est le jour parfait pour vous faire partager mon coup de cœur, que dis-je mon obsession du moment : (500) Days of Summer !

Tout a commencé avec la bande-annonce, alors que j'étais déjà fan de Zooey Deschanel. Cet été, c'était ce film que j'attendais le plus... et je n'ai pas été déçue !

J'ai été le voir deux fois, ce n'était pas prévu mais j'ai profité d'une copine qui n'avait pas pu venir la première fois pour y retourner, tellement le film vieillissait bien dans ma tête, mais en même temps je le trouvais tellement riche, fourmillant de 1001 détails, que j'avais l'impression d'oublier des trucs déjà... Et bien cette seconde fois, ça a été meilleur : je l'ai trouvé encore mieux foutu, encore plus drôle, encore plus charmant. Bref j'ai apprécié à fond.

De plus, entre les deux fois est apparu sur le net ce génial petit clip dansant, avec Zooey et Joe, réalisé par Marc Webb (réalisateur du long métrage), sur fond de She & Him (le groupe de Zooey, que j'adoooore) :



Pour en revenir au film, bon c'est difficile d'en parler car je ne voudrais pas spoiler, mais en même temps ce n'est pas très spoilable (?!) comme film quand même, surtout que tout est annoncé depuis le début : This is not a love story. This is a story about love. Et l'une des plus belles qui soient, ouaip ! Je ne peux pas m'empêcher de faire un micro-rapprochement avec Singles en plus...
J'ai été conquise par les acteurs (enfin Zooey c'était déjà fait mais là c'est encore plus), par la photo, par la manière ingénieuse et originale de raconter le film, et d'apporter une foule de petites touches originales et bienvenues, et en plus il y a beaucoup d'humour, le tout en restant très "réaliste" (à défaut d'un autre terme).
Bref il se pourrait tout à fait que ce soit celui-là mon numéro un de l'année finalement ! Depuis ma 2e vision j'écoute la BO en boucle et j'y pense tout le temps, j'ai même eu du mal à écrire ma critique pour FDC tellement c'était dur de ne pas décrire le film scène par scène en expliquant pourquoi elle est si réussie !

Bref je vous invite vivement à aller le voir, pour les Nord-Américains il est déjà sorti, pour la France ce sera le 30 septembre (et avant en compétition officielle au Festival de Deauville, du 7 au 13 septembre), et pour la Nouvelle-Zélande heu désolée je ne sais pas :o(
Et en plus, vous pouvez amener votre chéri car ça plaît aussi aux hommes, j'en ai eu la preuve ;o)

Love will tear us apart - Joy Division

lundi 10 août 2009

Diamonds are a girl's best friends

Je mets des petits bijoux mais je les déteste voyants; je n'ai jamais compris le délire autour des marques de luxe; je n'ai jamais rêvé qu'on m'offre des bijoux somptueux ou de m'en acheter si j'avais les moyens; et pourtant... quand j'ai vu cette broche "Camelia Paraïba" de Chanel en photo l'autre jour, mon sang n'a fait qu'un tour :


Bon ben j'ai plus qu'à jouer au loto hein, je ne trouve pas le prix mais elle est "composée d’une Tourmaline Paraïba du Brésil surprenante de 37,5 carats, accompagnée de 1 098 diamants et de laque" donc bon on imagine quoi...

Diamonds are a girl's best friends - Marilyn Monroe

dimanche 9 août 2009

My gift is my song #5

Ouais, 2 mois presque et demi, ce que le temps passe vite, et le pire c'est que plus j'attends plus y a de chansons à mettre donc plus ça prend de temps, un cercle vicieux cette histoire de playlist, mais faut bien que je m'y mette...
Bon j'ai quand même essayé de trouver des titres qui ne soient pas des paroles de chansons justement pour me faciliter la tâche, et heureusement certains ont un clip, ce qui allège la playlist.
Encore une fois le récent côtoie les années 80 et 90, et il y a plusieurs chansons issues de bandes originales de films...

Allez on se lance avec le dernier tube des Black Eyed Peas, qui je l'avoue rend mieux en live mais les vidéos trouvables du live ne sont pas de super qualité alors autant mettre le clip, alors hop on monte le son et on se met dans l'ambiance !



On continue avec Nicole Atkins, que j'adore, et son clip sympa Maybe Tonight (et je veux sa robe !) :



Puis on prend un coup de vieux avec le True Blue de Madonna (1987, je me souviens encore quand ma mère m'avait acheté l'album du même nom, en k7 bien sûr, à Noël !) - et la preuve que les leggings c'est pas nouveau...



Direction la Jamaïque avec les Beach Boys, John Stamos (oui oui, à la batterie !) et Tom Cruise pour Kokomo, de la BO de Cocktail, encore un vieux souvenir...



Et pour My Friends, issue de Sweeney Todd, je ne vais pas passer à côté du plaisir de mettre l'extrait du film (la chanson commence vraiment à 1'30) - bon ben voilà j'ai envie de le re-revoir maintenant :



Enfin, place au reste, en playlist régulière, bonne écoute !

vendredi 7 août 2009

Fangtasia

Gothique dans l'âme, à trois ans je dessinais déjà tout en noir. Musique rock et new wave, fringues et cheveux noirs, décor noir avec sorcière, chauve-souris et têtes de mort... Non je ne vais pas vous raconter pourquoi j'aime le noir ou les trucs gothiques - parce que je ne sais pas pourquoi, c'est juste comme ça -, c'est juste pour introduire le fait que, sans surprise, j'aime les vampires !


Alors en ce moment il y a une nouvelle mode des vampires, et j'avoue que ça me gonfle un peu que ça devienne aussi populaire, surtout que forcément, dès qu'il y a quantité, la qualité se perd. Alors là parmi la horde de projets de films, séries et livres sur le sujet (voir le billet de Caro et la couv du dernier EW), il y a et aura beaucoup à jeter. Mais ça n'empêche pas d'apprécier le bon, passé ou présent.

Ainsi, alors que je n'ai pas du tout été emportée par la tornade Twilight (j'ai trouvé le film mou et mauvais, pas du tout envie de lire les livres), j'aime de plus en plus la série True Blood (la saison 2 est bien plus accrochante que la 1e).
The CW (sur laquelle je suis 90210 et Gossip Girl) va lancer à la rentrée The Vampire Diaries mais ça ne me dit rien du tout par contre, limite si j'avais le temps je préfèrerais me refaire Buffy, qui s'améliorait saison après saison (ah je me souviens de la 6 qui était parfaite, chaque épisode était un régal).

L'autre jour au bureau on se demandait s'il y avait eu un bon film de vampires depuis Entretien avec un vampire - qui a déjà 15 ans ! - et on n'a pas été foutus d'en trouver un. J'ai vaguement pensé à Blade mais je préfère de loin le vampire romantique, style Lestat et Louis justement, ou Dracula.
Je n'ai jamais vu les vieux Dracula avec Bela Lugosi ou Christopher Lee mais je dois dire que celui de Coppola avec Gary Oldman me suffit : on a là une histoire d'amour tragique et sensuelle comme je les aime, avec une bonne ambiance fantastico-gothique et une musique envoûtante (c'est vraiment l'une des plus belles musiques de films que je connaisse).
Oui, moi j'aime mes vampires en vieilles frusques, avec des manières d'autrefois et une grosse dose de désespoir. Malheureusement, ils se font rares...

Dans ma lointaine période "je vais écrire un livre", j'avais noté comme idée "Roméo et Juliette avec des vampires". Je n'ai jamais été plus loin mais quand Underworld est sorti, ça avait l'air de tout avoir pour me plaire. Ouais ben c'était bien nul; trop mauvais, trop moderne, trop djeunz... Van Helsing était pire et malgré Hugh Jackman, je n'ai pas tenu plus de 15 minutes (en fait c'est surtout les films avec Kate Beckinsale qu'il faut que j'évite peut-être). J'ai bien aimé la trilogie Blade mais ce n'est pas le genre de vampire qui me fait vibrer (du coup je "préfère" le 3 parce qu'il y a Ryan Reynolds torse nu hum...).

Alors des petits interviews dans le dernier EW essayent de comprendre la fascination pour les vampires, qui n'est quand même pas nouvelle, et la particularité au niveau littéraire surtout c'est que beaucoup d'auteurs d'histoires de vampires sont des femmes. Il y a un côté sexuel évident, et en tant qu'ancienne psy je vois là-dedans une belle combinaison eros-thanatos, cet attrait pour la mort et pour ce qui est interdit, dangereux, qui regonfle justement la pulsion de vie.
D'autant plus qu'ils sont immortels, et franchement à chaque fois qu'un vampire dit son âge je me dis "oh il a vu ça et ça arriver, c'est fou de vivre aussi longtemps, de pouvoir faire autant de découvertes, assister à autant d'événements", bref c'est quand même un gros fantasme l'immortalité, et parfois je me demande ce que je ferais si les vampires existaient vraiment et me donnaient l'opportunité de le devenir à mon tour...

mercredi 5 août 2009

Dance until you're dead

Oh et puis zut, juste pour le plaisir, je mets le clip des Yeah Yeah Yeahs ici ! Heads will roll... c'est en train de devenir ma phrase fétiche, je suis vraiment prête pour Alice !

lundi 3 août 2009

Heads will roll

Régulièrement il me faut mon petit shopping spree de livres - mais je me limite toujours à 3 parce que sinon ça devient n'importe quoi, vu qu'évidemment je ne lis pas aussi vite que j'en achète, sans compter que c'est lourd à trimballer après -, donc voici la dernière fournée.
Comme vous le voyez c'est des bonnes lectures d'été ensoleillées qui respirent la joie de vivre hihi, mais ça correspondait tout à fait à mes envies du moment (tout comme la chanson qui donne son titre à ce billet, dont j'ai mis la vidéo sur facebook dans la semaine - d'ailleurs un jour je trouverai le temps de faire une nouvelle playlist hum...) et puis bon ce sont des classiques (ou détournement de classique).

clic-clic
  • Pride and Prejudice and Zombies (Seth Grahame-Smith)

J'ai lu le livre original, vu le film de Joe Wright (avec Keira Knightley et Matthew MacFadyen, parfait en Darcy), vu la variante Bollywood-style Bride and Prejudice, lu et vu Bridget Jones, qui y fait non seulement référence mais s'en inspire carrément dans sa structure, et enfin je suis en train de rattraper la mini-série culte de la BBC, avec Colin Firth. Bref je commence à connaître pas mal ce Jane Austen là, mais tant qu'on m'en donne, je prends !
Comme j'aime aussi les zombies, les trucs décalés et que le livre a de très bonnes critiques, j'ai très envie de le lire et, qui sait, si c'est bon je me plongerai peut-être ensuite dans Sense and Sensibility and Seamonsters du même auteur (surtout que Sense and Sensibility est dans ma pile de livres à lire, je n'ai vu que le film d'Ang Lee).

  • Alice's Adventures in Wonderland & Through the Looking Glass (Lewis Carroll)

A vrai dire je n'avais même pas pensé à l'acheter - je venais pour les deux autres spécifiquement - mais il était mis en avant à l'entrée de la librairie et quand je l'ai vu je me suis dit "ah ben oui tiens autant le lire avant de voir le film de Burton, vu que je ne connais que le dessin animé Disney !" Et hop.

  • The Picture of Dorian Gray (Oscar Wilde)

L'idée de le lire m'est venu chez Caro l'autre jour en voyant la bande-annonce de la nouvelle adaptation cinématographique, qui s'annonce peu fameuse (et dans laquelle joue... Colin Firth, tout est lié !). J'ai vu par contre le film en noir et blanc de 1945 et j'avais adoré. L'histoire est terrifiante et je me suis dit que ça ferait une bonne petite lecture, j'espère juste que Wilde en VO c'est pas trop dur...

Bon avant d'attaquer ça il faut que je finisse Shutter Island, que je viens juste de commencer après avoir fini The Lovely Bones. Et c'est fou comme mon planning lecture est basé sur les sorties de films en fait... Et l'année prochaine il faudra que je case la relecture du dernier Harry Potter aussi !


Heads will roll - Yeah Yeah Yeahs